Les recueils de François de Marliave (1874-1953) : une commande de Doucet pour enrichir la Bibliothèque d’art et d’archéologie

Parmi les documents sur Paris explorés à l’occasion de la séance sur la topographie parisienne, des lettres de François de Marliave adressées à Jacques Doucet et accompagnant des recueils de dessins ont permis d’en apprendre un peu plus sur la constitution de sources iconographiques et sur les commandes passées par Doucet pour enrichir sa bibliothèque.

François de Marliave (1874 – 1953), peintre, illustrateur et voyageur

Fils et petit-fils d’officier de marine, François de Marliave choisit rapidement la carrière artistique après quelques années comme marin¹. Son nom apparaît à partir de 1905 dans la presse, pour un décor de fête espagnole à laquelle il participe avec de nombreux artistes² ou pour une affiche du Moulin Rouge :

Une affiche d’aspect bizarre et fantasmagorique enjolive depuis quelques jours les murs de Paris. Elle porte ce titre : Andrée Spinelly au théâtre du Moulin-Rouge. C’est l’œuvre d’un jeune artiste, François de Marliave, que nous aurons l’occasion de féliciter…³.

Il expose régulièrement dans les Salons — souvent dans la section Arts décoratifs : dès 1902 au Salon des artistes français, puis au Salon d’automne, à la Société nationale des beaux-arts, au Salon d’art contemporain, au Salon des orientalistes, ou encore au Salon des arts décoratifs⁴. Dès 1907, plusieurs tableaux de Marliave sont achetés par l’État, et les commentaires dans la presse sont des plus élogieux. Le Parisien du 9 mai 1907 remarque ainsi sa présence au Salon des artistes français :

Je n’aurai garde d’oublier M. François de Marliave, qui tard venu chez les paysagistes, tend à se faire parmi eux une place enviable, et dont le « Trianon », conçu dans une harmonie dorée, fort personnelle, fait penser aux mélancoliques poèmes de Verlaine…⁵

Pour Le Gaulois du 2 mai 1909, son tableau Le Bassin de Versailles, acheté pour le ministère des Finances, « a les plus suaves qualités de couleur »⁶.
En 1910, il obtient le prix d’Indochine qui vient d’être institué et qui lui permet de parcourir la région, de découvrir Angkor, ainsi que la province chinoise du Yunnan⁷. Ce voyage inaugure de longs et nombreux séjours en Indochine, puis au Moyen-Orient, en Grèce, en Algérie, d’où il rapporte de nombreux dessins, gouaches et aquarelles.

Marliave participe en outre à plusieurs expositions coloniales (Marseille, 1922 ; Vincennes, 1932 ; Paris, 1937), à des décorations de paquebots, ainsi qu’à des publications sur la Provence, sa région, et à de nombreuses illustrations de livres⁸.

Versailles : la première commande de Jacques Doucet

Avant ses lointains voyages, ce sont ses représentations de Versailles qui l’ont fait connaître et apprécier, et un courrier conservé à la bibliothèque et daté du 6 novembre 1906 nous apprend que Jacques Doucet lui a passé commande :

Vous avez bien voulu me demander d’établir une sorte de programme à la série que vous m’avez chargé d’exécuter sur Versailles. Ma première idée a été de choisir ce qui dans le parc concentre le plus d’intérêt, l’eau. Mais les bassins, les fontaines sont en si grand nombre qu’il convient peut être de le réduire, ou du moins d’en réserver une partie pour la série de l’été. Il me semble indiqué de prendre les bassins de l’hiver et de l’automne, un coin de celui de Neptune, Encelade, les Lézards et les Couronnes, les fontaines, enfin qui séparent les Parterres d’eau de celui de Latone, la fontaine de Diane, une de celles des Marmousets. Cela ferait une série de pièces d’eau, les unes calmes semées de feuilles mortes, les autres agitées du jet des grandes eaux. Il en resterait autant pour l’été, mais, et les statues, et les allées solitaires, et les ailes du château à travers les branches, et les portiques, et les trianons ! Si je n’écoutais que mon enthousiasme pour un pareil sujet, je ne serais qu’un très mauvais organisateur sans doute, et peut être irais-je au delà de ce que vous voulez me faire exécuter. Aussi Monsieur je viens vous prier de me dire si je ne fais pas fausse route, et si mon désir de vouloir trop étreindre ne devient pas de l’indiscrétion. Je vous serais reconnaissant de me faire savoir, également, à quelles heures je puis me présenter chez vous avec la certitude de vous y trouver, s’il est parfois préférable de causer que d’écrire⁹.

Le résultat de cette commande est un somptueux recueil intitulé « Douze coins de Versailles, hiver 1907, gouaches originales de François de Marliave »¹⁰, qui reprend le programme proposé — même s’il n’est malheureusement pas suivi du recueil sur l’été annoncé.

L’album est décrit quelques années plus tard par Raymond Escholier :

Un jeune artiste […] se voue à l’étude patiente et amoureuse de Versailles […] Durant tout un hiver, celui de 1907, il parcourut le grand parc dénudé, les allées silencieuses, les ronds-points déserts où parmi les noires dentelles des charmilles, frissonnaient les déesses de marbre…. Il eut recours à la gouache, sur des papiers colorés, qui lui fournissaient les demi-teintes, il étudia le style majestueux et le sentiment mélancolique du parc de Le Nôtre. […] Ces gouaches, qu’un amateur bien connu tint à honneur de posséder, sont admirablement construites et équilibrées : d’un coloris très simplifié, mais de par le large jeu des demi teintes très profond, toutes signalent une intelligence singulière des architectures monumentales et végétales…¹¹.

Un peu plus loin, l’auteur de l’article lève l’anonymat sur le propriétaire de ces albums, « dont plusieurs figurent dans la bibliothèque de M. Doucet ».

La Provence et Paris

La collaboration avec le couturier se poursuit au-delà de Versailles, puisque l’année suivante Marliave propose à Doucet de profiter d’un voyage en Provence pour exécuter le travail qu’il lui a confié :

Je pars mercredi soir pour la Provence, où je dois exécuter une série de dessins, d’aquarelles destinées à un album de publicité. Voulez-vous que je profite de ce voyage pour aller dans la région où vous aviez l’intention de m’envoyer ? Il me serait facile, lorsque j’aurai terminé mes travaux d’un côté, d’aller de l’autre, vers Nîmes et Montpellier. Si vous désirez que je vienne m’entretenir avec vous, je suis à votre entière disposition pour le jour et l’heure qu’il vous plaira de me fixer… vous pourriez me donner vos instructions plus tard, par écrit, si toutefois vous avez encore l’intention de me confier le même travail¹².

Ces deux lettres isolées laissent entendre une collaboration régulière avec Jacques Doucet, la bibliothèque conservant un ensemble de recueils qui constituent comme une petite collection, avec à chaque fois une page de titre calligraphiée avec soin : Montpellier, Nîmes, Toulon, 1907¹³ ; Le Château de Brécy près Bayeux, Calvados, août 1909¹⁴ ; Sens, Dijon, Beaune, septembre 1909¹⁵ ; Le Château de Raba à Talence près de Bordeaux, octobre 1909¹⁶.

Un ensemble de dessins concernant Amiens¹⁷ présente une forme moins aboutie, esquisses destinées à être reprises plus tard peut-être, ou simplement étape intermédiaire avant d’être reliées en album.

Pour compléter la collection, deux volumes plus conséquents sur Paris s’étalent de 1907 à 1910. Le premier, intitulé « Dessins originaux sur Paris et ses environs, 1907-1909 », comporte 84 dessins¹⁸, quant au second, Dessins de Vieilles maisons, il comprend 127 dessins à la mine de plomb et au lavis de maisons anciennes, ensemble et détails réalisés à Paris et à Courbevoie, entre 1909 et 1910¹⁹.

Les dessins sont à chaque fois très précisément datés et légendés, ce qui permet de suivre le rythme de travail soutenu au service de Doucet : vingt-cinq dessins par exemple pour le seul mois de juin 1910, même si nous ne disposons pas de plus d’informations sur le détail de la commande.
Les planches sont toujours accompagnées du nom et de l’adresse du bâtiment, complétés parfois du nom de l’architecte, de la date de construction, ou de quelques informations historiques succinctes — par exemple « Notre Dame de la Consolation, édifiée rue Jean Goujon sur l’emplacement du Bazar de la Charité incendié en 1897 », ou « le pavillon de chasse de M. de Julienne, ami et protecteur de Watteau ».

L’ensemble offre une documentation parfois précieuse sur des bâtiments aujourd’hui disparus. Le relevé est précis, la façade de l’hôtel est parfois accompagnée d’une vue d’ensemble en petite vignette, d’autres fois de détails d’éléments architecturaux — escalier, fenêtre, ou encore grille.

Si les grands hôtels particuliers parisiens classiques sont bien entendu présents (tels l’hôtel Lambert ou l’hôtel Lamoignon), on y trouve également les constructions plus contemporaines comme la « maison de Lalique, joaillier ciseleur, cours de la Reine, février 1908 » — construite en 1904.

Marliave s’attache également à représenter des édifices urbains que sont les regards du Nord-Est parisien : Belleville, Ménilmontant, les Lilas.

Une attention particulière est portée aux boutiques et aux enseignes, très nombreuses dans ces deux recueils, écho peut-être à l’attention portée à la diversité des métiers d’artisans que l’on retrouve dans d’autres collections de la bibliothèque.

Si l’objectif documentaire est évident, le regard du peintre est bien présent, à travers les multiples techniques utilisées (mine de plomb, fusain, plume, sanguine, pastel, lavis, rehauts de gouache) et les compositions laissant toute leur place à l’aspect décoratif.

L’utilisation de ces albums comme source iconographique pour les lecteurs de la bibliothèque ne fait pas de doute. L’organisation topographique des collections devait alors rendre aisée leur consultation. On trouve par exemple une reproduction de la chapelle des saint simoniens²⁰ dans l’ouvrage de Dally intitulé Belleville : histoire d’une localité parisienne pendant la Révolution, 1912 — dédicacé par son auteur à la Bibliothèque d’art et d’archéologie en remerciement. On sait que la bibliothèque disposait d’un atelier photographique offrant un service de reproduction à ses lecteurs dès cette époque, dont voici un exemple.

Dessin ou photographie : pourquoi choisir ?

À cette même époque, en 1909, Doucet confie à Louis-Eugène Lefevre la mission de constituer une photothèque :

Un amateur parisien M. Jacques Doucet, a entrepris de la façon la plus désintéressée de créer pour l’usage des savants et chercheurs un répertoire Artistique et Archéologique […] Pour compléter la documentation écrite, il s’efforce de rassembler les images des monuments et des objets… Ce sont surtout les détails des monuments qui nous intéressent…²¹

En quelques années, plusieurs dizaines de milliers d’épreuves sont rassemblées. On peut donc s’étonner de voir Doucet passer commande de dessins alors que ce vaste projet se met en place. Mais le débat dessin / photographie est toujours ouvert, si l’on en croit Albert Vuaflart, l’un des proches de Doucet, à propos de la représentation de la crue de la Seine en 1910 :

Quelle que soit leur précision ou l’ingéniosité des opérateurs, il était plus intéressant, plus vivant surtout, de rechercher les œuvres peintes par des artistes curieux d’actualité, on ne peut mettre en balance l’objectif photographique et le talent du peintre … Elles possèdent des qualités précieuses d’observation, écrasant les photographies de la vie qui les anime²².

De fait, Doucet semble continuer de rechercher parallèlement les deux types de sources iconographiques, comme le montre cette recommandation de l’architecte Jean Hulot en 1909 dans la correspondance René-Jean :

Vous m’avez demandé de vous trouver un dessinateur capable de faire des vues de Paris pour la bibliothèque Doucet…. je vous parlais de mon ami Quidor, graveur, qui se serait volontiers chargé de ce travail …²³

Si l’on ne trouve pas trace d’œuvres de ce Quidor dans les collections, d’autres ensembles de dessins enrichissent ce corpus iconographique parisien à la même époque, comme ceux de Fedor Hoffbauer (1839-1922)²⁴ ou de Georges-Henri Manesse (1854-1913)²⁵. On retrouve par exemple Le Pavillon de chasse de Mr Julienne (avril 1908), accompagné d’un petit plan de situation.

À côté des recueils des dessins et de la Photohèque, le Cabinet d’estampes modernes constitue également une source très riche d’iconographie sur Paris.

Le salon des Cent Pastels

À côté des vues de Paris, le recueil Ms 319 renferme une autre curiosité : un relevé détaillé du Salon des Cent pastels à la Galerie Georges Petit en juin 1908. L’exposition est croquée en trois planches permettant de reconstituer l’espace de l’événement, avec une petite vignette pour chaque pastel.

Le catalogue de cette célèbre exposition²⁶ permet d’identifier comme l’un prêteurs parmi les collectionneurs importants un certain « J. D. », dont les initiales apparaissent sur treize œuvres — et qu’il n’est pas difficile de reconnaître comme Jacques Doucet, grand amateur d’art du XVIIIe siècle.

Par exemple, dans les nombreux Latour exposés, le n° 37 du catalogue, un grand portrait de Duval de l’Epinoy acquis par Doucet en 1905 pour le revendre en 1912, pourrait être celui-ci aujourd’hui au musée Gulbenkian.
L’éventail dans les mains de Mme de la Reynière permet probablement d’identifier son portrait dans le n° 35.

On pourrait poursuivre ces recherches grâce au site http://www.pastellists.com/cent_pastels.htm²⁷.
Le programme de recherche sur le catalogue des œuvres de la collection Jacques Doucet permet de de reconstituer l’intégralité de sa collection et de retrouver ces pastels parmi les autres œuvres qu’il possédait.
On peut également, grâce aux dessins de Karbowsky, explorer le salon des pastels de l’hôtel particulier de Doucet rue Spontini.

Épilogue et nouvelles perspectives pour l’œuvre de Marliave

Si Marliave a commencé à se faire connaître par Versailles, c’est surtout sa production de peintre orientaliste qui est mise en avant dans les quelques occasions où son œuvre a été rassemblée pour être présenté au public, à la Galerie Devambez en mars 1922²⁸ ou en 1994, à la galerie Christian Meissirel Fine Art (Paris) — « François de Marliave : Cambodge-Laos-Vietnam. Voyage en Indochine 1910-1921 ». Plus récemment, on pouvait retrouver certaines de ses œuvres au Musée Cernuschi dans l’exposition « Du fleuve Rouge au Mékong : visions du Viêt Nam », 20 septembre 2012-27 janvier 2013²⁹.

Depuis la vente de son atelier en 1992³⁰, on peut régulièrement voir passer en vente des dessins ou gouaches de François de Marliave³¹.
Étant décédé en 1953, Marliave voit son œuvre entrer à la fin de l’année dans le domaine public, et serait donc susceptible de rejoindre la bibliothèque numérique de l’INHA, où elle pourra faire l’objet d’études plus approfondies.

Juliette Robain

Mise à jour du 25 avril 2024

Les recueils de Marliave ont depuis peu rejoint la bibliothèque numérique de l’INHA !

Retrouvez-les en ligne en suivant les liens ci-dessous :

• François de Marliave, Montpellier, Nîmes, Toulon, 1907
Cote de l’original : Ms 314 / Identifiant numérique : NUM MS 314

• François de Marliave, Douze coins de Versailles, hiver 1907
Cote de l’original : Ms 324 / Identifiant numérique : NUM MS 324

• François de Marliave, Dessins originaux sur Paris et ses environs, 1907-1909
Cote de l’original : Ms 319 / Identifiant numérique : NUM MS 319

• François de Marliave, Le Château de Brécy près Bayeux, Calvados, 1909
Cote de l’original : Ms 312 / Identifiant numérique : NUM MS 312

• François de Marliave, Sens, Dijon, Beaune, 1909
Cote de l’original : Ms 313 / Identifiant numérique : NUM MS 313

• François de Marliave, Le château de Raba à Talence près de Bordeaux, octobre 1909
Cote de l’original : Ms 311 / Identifiant numérique : NUM MS 311

• François de Marliave, Dessins de vieilles maisons, 1909-1910
Cote de l’original : Ms 171 / Identifiant numérique : NUM MS 171

1. Pour plus d’informations sur la biographie de l’artiste, voir : Colette Establet, « François de Marliave, itinéraire d’un peintre », Ultramarines, 1994, n° 10, p. 16-18. [↩]
2. Le Figaro, 17 mai 1905, p. 6 ; Le Gaulois, 6 juin 1905, p. 1. [↩]
3. Le Figaro, 12 décembre 1906 [↩]
4. Voir à ce sujet : E. Benezit. D’après la base « Salons et expositions de groupe (1673-1914) » du Musée d’Orsay, Marliave aurait présenté 55 œuvres dans 14 salons entre 1902 et 1914. [↩]
5. Le Parisien, 9 mai 1907. [↩]
6. Le Gaulois, 2 mai 1909. [↩]
7. Pierre Mille, « L’œuvre asiatique de Marliave », L’art et les artistes, revue mensuelle d’art ancien et moderne, 1913, p. 252-258. [↩]
8. Un site personnel répertorie de nombreuses illustrations de Marliave : http://genealogie-poulain.chez-alice.fr/livres_marliave.htm, consulté le 10 février 2023. [↩]
9. Bibliothèque de l’INHA, Autographes 93, 2, 83. [↩]
10. Bibliothèque de l’INHA, Ms 324. [↩]
11. Raymond Escholier, « Les jardins à la française de François de Marliave », par Raymond Escholier, L’art décoratif, revue de l’art ancien et de la vie artistique moderne, t. XXVI, juillet – décembre 1911 , p. 48-52 , illustré de reproductions en noir et blanc de nombreuses pages de l’album [↩]
12. Voir : Bibliothèque de l’INHA, Autographes 93, 2, 83, lundi 6 mai 1907 ; Ms 314, Montpellier, Nîmes Toulon, 1907. [↩]
13. Bibliothèque de l’INHA, Ms 314. [↩]
14. Bibliothèque de l’INHA, Ms 312. [↩]
15. Bibliothèque de l’INHA, Ms 313. [↩]
16. Bibliothèque de l’INHA, Ms 311. [↩]
17. Bibliothèque de l’INHA, OA 735 (1) à (18). [↩]
18. Bibliothèque de l’INHA, Ms 319. [↩]
19. Bibliothèque de l’INHA, Ms 171. [↩]
20. Bibliothèque de l’INHA, Ms 171, pl. 93. [↩]
21. Bibliothèque de l’INHA, archives de la Photothèque. [↩]
22. Bulletin de la société d’iconographie parisienne, 3e année, 1910, édité en 1911, p. 82-84. [↩]
23. Bibliothèque de l’INHA, Autographes 143, 3, 329. [↩]
24. Bibliothèque de l’INHA, OA 732, OA 733 ; voir à ce sujet : Claire Daniélou, « Fédor Hoffbauer, le Paris historique en dessins », L’échauguette – Carnet Hypothèses de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris. [↩]
25. Bibliothèque de l’INHA, OA 734. [↩]
26. Bibliothèque de l’INHA, 8 Res 1133 ; également disponible sur Gallica. [↩]
27. consulté le 14 février 2023 [↩]
28. Bibliothèque de l’INHA, CVA I / 6116. [↩]
29. Bibliothèque de l’INHA, ouvrage cote 4 MON 41395. [↩]
30. VP 1992/997. [↩]
31. Par ailleurs, le musée du Quai Branly conserve quelques œuvres et une petite documentation sur le peintre. [↩]

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